Importés aux Antilles par les conquistadores espagnols, ils restent en honneur en Martinique et sont fort prisés. Ils se déroulent de Novembre à Juillet, dans des gallodromes ou pitts (le mot, d'origine irlandaise, désigne les arènes). Il n'est pas rare d'y voir des touristes miser avec passion sur des coqs qui se battent parfois à mort. Les rencontres ont généralement lieu le samedi après-midi et le dimanche.
Les entraîneurs sont payés à prix d'or pour bichonner ces vedettes à plumes car les combats de coq sont des jeux d'argent où les sommes engagées sont très importantes. Chaque coq a son pedigree et peut valoir jusqu'à huit mille francs. Tel un pur sang, il est massé, entraîné et nourri avec des pâtées riches en protéines dont la composition reste le secret de l'entraîneur ; puis il est jeté dans l'arène. Le vainqueur est proclamé champion et sa côte montera avant de retomber, d'un seul et fatal coup à la gorge lors d'un prochain combat. Le vaincu ira à la marmite dans l'ingratitude la plus totale.
De même que les concours d'attelages de boeufs tirants, offrent de nouvelles sensations aux éventuels parieurs.
Les entraîneurs sont payés à prix d'or pour bichonner ces vedettes à plumes car les combats de coq sont des jeux d'argent où les sommes engagées sont très importantes. Chaque coq a son pedigree et peut valoir jusqu'à huit mille francs. Tel un pur sang, il est massé, entraîné et nourri avec des pâtées riches en protéines dont la composition reste le secret de l'entraîneur ; puis il est jeté dans l'arène. Le vainqueur est proclamé champion et sa côte montera avant de retomber, d'un seul et fatal coup à la gorge lors d'un prochain combat. Le vaincu ira à la marmite dans l'ingratitude la plus totale.
De même que les concours d'attelages de boeufs tirants, offrent de nouvelles sensations aux éventuels parieurs.
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