Les jours fériés sont les mêmes qu'en métropole. Le Mardi Gras est considéré comme un jour férié.
La Martinique possède quelques fêtes locales particulièrement importantes : le carnaval, dernière semaine de février et 1ère semaine de mars, la fête des Cuisinières en août, la Toussaint. La fête de Victor Schoelcher, le 21 juillet, commémore l'abolition de l'esclavage.
La Martinique possède quelques fêtes locales particulièrement importantes : le carnaval, dernière semaine de février et 1ère semaine de mars, la fête des Cuisinières en août, la Toussaint. La fête de Victor Schoelcher, le 21 juillet, commémore l'abolition de l'esclavage.
Pâques
Le Vendredi saint est une fête religieuse très respectée aux Antilles. Elle se traduit par de longues processions aux calvaires des bourgs et des communes de la Martinique. En signe de deuil, les cloches ne sonnent pas ; une sorte d'instrument en bois, le rara, qu'on fait tourner à l'aide d'un bâtonnet, appelle les fidèles aux vêpres.
Autrefois, le lendemain, le samedi "gloria", au réveil des cloches, une foule de gens se jetaient à l'eau ou se lavaient le visage, et chacun arrosait sa maison afin d'avoir de la chance toute l'année.
Le lundi de Pâques est la journée de réjouissances par excellence. On se rend à la plage ou à la rivière pour se baigner, jouer de la musique, s'amuser et déguster punchs, salade de concombres, tomates et oeufs durs, chiquetaille de morue, féroce (avocat et farine de manioc pimentés) et surtout le matoutou de crabes, délicieux mélange de riz et de crabes de terre.
Le Vendredi saint est une fête religieuse très respectée aux Antilles. Elle se traduit par de longues processions aux calvaires des bourgs et des communes de la Martinique. En signe de deuil, les cloches ne sonnent pas ; une sorte d'instrument en bois, le rara, qu'on fait tourner à l'aide d'un bâtonnet, appelle les fidèles aux vêpres.
Autrefois, le lendemain, le samedi "gloria", au réveil des cloches, une foule de gens se jetaient à l'eau ou se lavaient le visage, et chacun arrosait sa maison afin d'avoir de la chance toute l'année.
Le lundi de Pâques est la journée de réjouissances par excellence. On se rend à la plage ou à la rivière pour se baigner, jouer de la musique, s'amuser et déguster punchs, salade de concombres, tomates et oeufs durs, chiquetaille de morue, féroce (avocat et farine de manioc pimentés) et surtout le matoutou de crabes, délicieux mélange de riz et de crabes de terre.
La Toussaint
Le soir de la Toussaint vous assisterez à un spectacle unique. De même que dans les églises les fidèles allument des cierges et des bougies pour les défunts de même, ce soir-là, les cimetières sont illuminés par des milliers de bougies allumées sur les tombes pour éclairer les morts qui sont veillés toute la nuit par leurs proches.
Le soir de la Toussaint vous assisterez à un spectacle unique. De même que dans les églises les fidèles allument des cierges et des bougies pour les défunts de même, ce soir-là, les cimetières sont illuminés par des milliers de bougies allumées sur les tombes pour éclairer les morts qui sont veillés toute la nuit par leurs proches.
Noël
La veillée du 24 décembre est l'une des plus belles et des plus gaies de l'année. Les familles se regroupent pour chanter, danser et manger.
Les cantiques traditionnels ont pris à la Martinique et à la Guadeloupe des rythmes de valses, de bel airs, de mazouks et de biguines. Les paroles sont strictement respectées, mais le rythme antillais ou africain y a posé son empreinte.
La veillée du 24 décembre est l'une des plus belles et des plus gaies de l'année. Les familles se regroupent pour chanter, danser et manger.
Les cantiques traditionnels ont pris à la Martinique et à la Guadeloupe des rythmes de valses, de bel airs, de mazouks et de biguines. Les paroles sont strictement respectées, mais le rythme antillais ou africain y a posé son empreinte.
Les fêtes patronales
Chaque année, les communes, villes, bourgs et villages fêtent les saints de leurs églises au rythme des tambours bel air, des gro ka pour accompagner des grangé manioc, des laghias, des toumblack, des tombé évé et autres danses des campagnes. Si la messe et la procession sont de rigueur, le charme des fêtes réside surtout dans ces bars ou "buvettes" décorés de guirlandes, de madras, de tapis multicolores, où l'on prend le décollage au rhum sec et où l'on mange des accras de morue croustillants, du boudin chaud, de la morue frite recouverte d'un coussin d'oignons rissolés, des colombos de poulet ou de cabri, des courts-bouillons de poisson et autres mets créoles pimentés et agrémentés d'épices.
Chaque année, les communes, villes, bourgs et villages fêtent les saints de leurs églises au rythme des tambours bel air, des gro ka pour accompagner des grangé manioc, des laghias, des toumblack, des tombé évé et autres danses des campagnes. Si la messe et la procession sont de rigueur, le charme des fêtes réside surtout dans ces bars ou "buvettes" décorés de guirlandes, de madras, de tapis multicolores, où l'on prend le décollage au rhum sec et où l'on mange des accras de morue croustillants, du boudin chaud, de la morue frite recouverte d'un coussin d'oignons rissolés, des colombos de poulet ou de cabri, des courts-bouillons de poisson et autres mets créoles pimentés et agrémentés d'épices.
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